Samuel Sabban, ingénieur système et réseaux

Quel est ton parcours ?

« Après quelques semaines en Première scientifique où rien ne me paraissait concret, j’ai intégré IRIS en Première professionnelle SN (systèmes numériques) et y suis resté jusqu’au diplôme de cinquième année d’études supérieures, fin 2020. J’ai exclusivement effectué mon parcours en alternance, ce qui revient à sept ans d’expérience professionnelle. 

Après le baccalauréat, j’ai suivi un BTS SIO SISR (solutions d’infrastructure système et réseaux), puis une troisième année en informatique, réseaux et sécurité et la quatrième et cinquième année en tant que manager de projets informatiques. 

Depuis quelques semaines, je travaille en tant qu’ingénieur système et réseaux en CDI chez Inetum (ancien GFI) en mission pour la Banque de France. Cet emploi est particulièrement bénéfique pour le CV car c’est une institution très connue, mais aussi car grâce à mon emploi du temps, j’ai le temps de passer la certification Cisco. Elle est très utile pour se vendre sur le marché du travail, elle certifie que vous maîtrisez leurs équipements de sécurité réseau. 

En parallèle, je suis mentor chez Openclassrooms où j’accompagne les étudiants et les personnes en reconversion professionnelle en études supérieures pour être technicien réseaux. » 

Parle-nous d’un cours qui t’a particulièrement marqué à IRIS

« Le cours de “réseaux” est celui qui m’a le plus plu car l’intervenant m’a énormément accompagné et m’a donné envie de me lancer dans cette voie. C’est un cours où la pratique et la théorie se mélangent beaucoup. Nous avions des cours en laboratoire où nous travaillions sur les machines Cisco et à côté, nous étudions toutes les connaissances théoriques importantes à maîtriser. »

Pourquoi conseilles-tu d’étudier l’informatique à IRIS ?

« IRIS, c’est les meilleures années de ma vie étudiante ! C’est un peu comme ma deuxième maison. J’ai beaucoup apprécié avoir globalement les mêmes intervenants pendant ces sept années d’études car cela rapproche et permet d’être plus à l’aise avec eux et donc de leur poser toutes les questions qu’on veut par rapport aux cours, à l’alternance ou à notre recherche d’emploi. Les intervenants et toute l’équipe pédagogique (même la direction) sont très à l’écoute des étudiants. Nous ne sommes pas des “numéros”, ils nous connaissent tous. Il y avait un vrai accueil familial et les cours mélangeaient pratique et théorique. Un vrai plus ! Si vous êtes passionné(e)s du numérique et que vous cherchez à gagner en expérience professionnelle, IRIS est vraiment la bonne école. »

Les cursus d’IRIS ne sont pas uniquement en alternance. Ils peuvent aussi être suivis en initial.

Toi qui a fait sept ans d’alternance, pourquoi conseilles-tu de faire pareil ?

« Ce qui était pratique en alternance, c’est que je pouvais directement appliquer ce que je voyais en cours aux projets de mon entreprise la semaine suivante. Les intervenants étaient présents pour nous conseiller même sur les projets en dehors de l’école. Aussi, l’alternance permet vraiment d’acquérir de l’expérience professionnelle donc après l’école on n’est pas juste diplômé. Et puis, ça permet de développer son réseau professionnel et ouvre donc des portes qu’on n’aurait pas pu ouvrir sans l’alternance. Autre point positif, le salaire ! L’alternance fait gagner du temps en permettant de négocier son salaire plutôt. Enfin, elle permet de faire découvrir le métier sans attendre de sortir de l’école pour voir s’il correspond réellement à nos attentes.

Le rythme d’alternance était différent selon l’année d’étude : en bac pro c’était une semaine en entreprise, une à l’école ; en BTS, trois jours d’alternance, deux jours à l’école ; en troisième année, un jour en cours par semaine ; et en quatrième et cinquième années, trois semaines en entreprise et deux à l’école. »

Les cours à IRIS ont-ils continué pendant le confinement ?

« Oui, le directeur et l’équipe pédagogique ont été très réactifs ! En fait ils avaient déjà réfléchi à la manière de mettre en place des cours à distance. Donc à l’annonce du premier confinement, tous les cours sont passés sur Teams en quelques jours seulement. Des formations à distance sur les outils ont été faites aux intervenants dans le besoin et un mail a tout de suite été envoyé aux apprenants pour leur expliquer les démarches et les outils à utiliser pour suivre correctement leurs cours. Même mes examens ont eu lieu à distance et ça s’est bien passé. »